Calendrier des blogs
<< novembre 2006 >>
lumamejevesadi
28293031123
45678910
11121314151617
18192021222324
2526272829301
30/11: Choquet, Bové, Hulot, élargissement, BEI…
26/11: Les mines du Pérou, en guerre contre le peuple
22/11: Le Pérou en miettes
17/11: Bolkestein, suite et fin.
16/11: Visiteurs de marque. Affaire Onesta. Zone euro.
11/11: Viva Amara
10/11: Triangle énergétique. Difficile naissance d’Eurolat
5/11: Vacances frileuses

Poster un message

En réponse à :

Bolkestein, suite et fin.


vendredi 17 novembre 2006

Mercredi à Strasbourg se confirme ce qu’on pressentait : la Directive « Services » (ex-Bolkestein) est définitivement adoptée par capitulation du Parlement abandonnant ses prérogatives législatives au Conseil. Je raconte les ultimes événements dans l’article que j’actualise depuis près de deux (…)


En réponse à :

Bolkestein, suite et fin.

dimanche 26 novembre 2006

Cher Gus,

Merci pour votre respect. J’essaie de me tenir dans ce site à un certain niveau d’argumentation permettant la réflexion collective.

Quelques brèves remarques.

 La France se distingue des autres pays (pas seulement d’Europe) par sa délégation systématique du service de l’eau au privé. Elle a ainsi construit plusieurs monstres mondiaux (la CGE, Suez, Bouygues…) qui colonisent littéralement le reste du monde. Le service public de l’eau, c’est à nous de le réapprendre du reste du monde.

 Vous classez l’aéronautique parmi les services publics. Peut-être avez-vous voulu dire le transport aérien ? Dans l’un et l’autre cas on aimerait savoir quand le peuple français a décidé de se doter de tels « services publics », pourquoi, et comment il les contrôle.

 La question vaut d’ailleurs en général pour le « service public à la française ». Vous notez avec raison son caractère productiviste. On peut aussi se poser la question de son caractère anti-démocratique, discriminatoire, etc., et de ce que nous pourrions apprendre des autres. Voir mon article sur le sujet

 Mais la tactique consistant à laisser la Commission et le Coneil pourrir les services publics pour les reconstruire plus tard revient à accepter le sacrifice d’une génération. Nous avons besoin aujourd’hui plus que jamais de service publics forts et démocratiquement contrôlés, et le mieux est d’amender vite et bien ce qui existe.


modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par les responsables.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.