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En réponse à :Bolkestein, int’Veld : une semaine en or pour les services
mercredi 2 février 2005
Dés mardi midi, Jean-Luc Bennahmias (eurodéputé Vert de la commission sociale du PE) me prévient, rigolard : « Dans toutes les commissions, la directive Bolkestein est retoquée ». Mercredi, suivant une tradition déjà rodée (retirer un projet avant de se faire battre en plénière ! ), le président (…)
En réponse à :
La directive Bolkestein sera appliquée après le référendum...
http://altermonde.levillage.org/article.php3?id_article=2199
– source : Altermonde le village / jeudi 24 février 2005
Court mais très intéressant texte de Gérard Filoche qui montre à quel point ceux qui voteront "oui" seront bernés. Il n’y a aucune espérance d’un nouveau monde possible dans ce chiffon qu’est la fausse constitution européenne du fric roi !
Après Munich, les peuples européens ont voulu croire en la paix possible. Ne recommençons pas la même erreur ! Nos enfants en seraient les premières victimes. 50 ans, c’est long, très long... (Merci à Valéry Giscard d’Estaing de nous avoir donné cette précieuse indication sur la durée d’application de "sa" constitution...)
Jean Dornac
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Schroeder se rallie à la directive Bolkestein et au principe du "pays d’origine"
Non seulement Schroeder vient d’apporter son soutien à la directive Bolkestein de manière générale, mais il vient également de donner son accord à l’aspect le plus controversé de cette directive, le principe du "pays d’origine".
Avec Blair soutenant bien évidemment cette directive et le ralliement de Schroeder, la directive Bolkestein n’a aucunement du "plomb dans l’aile" à la suite du "combat des socialistes en Europe" (car ledit combat n’existe pas !).
Cette directive va être ressortie en l’état des tiroirs de la Commission juste après le référendum français et adoptée sans aucun changement majeur.
Cette information est totalement publique pour qui veut bien tendre un peu l’oreille (le ralliement de Schroeder ne fait d’ailleurs que confirmer le récent soutien de Barroso à Bolkestein).
On comprend que Chirac veuille mettre le vote le 8 mai pour des raisons de politique intérieure, il brade l’information, le débat européen, et force le pas, parce qu’il veut à tout prix gagner et porter un mauvais coup au mouvement social, aux droits des salariés français et européens.
GF