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22/02: Les Présidents provocateurs
13/02: Les batailles de la propriété intellectuelle
8/02: Début de campagne européenne
6/02: Shoah, Etat, SNCF : le tournant ?
1er/02: FSM de Belém : le meeting des cinq présidents

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Début de campagne européenne


dimanche 8 février 2009

Depuis que Dany Cohn-Bendit m’a désigné porte-parole pour sa campagne des élections européennes, ma vie devient difficile. Je dois en effet combiner le début de la campagne avec... l’achèvement de mon mandat. Or, le travail au Parlement européen s’accélère, car il faut terminer ce qui a été (…)


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Protectionnisme et relance

mardi 17 février 2009

Tout à fait d’accord avec vous : je comprends le chômeur désespéré qui vote Le Pen ou Non au TCE. Je méprise le démagogue qui joue de ses réactions immédiates et, tout en sachant que ça va dans le mur, caresse sa colère dans le sens du poil.

A Lindsey le travail n’est même pas "britannique ". Une entreprise française s’installe sur la côte anglaise pour traiter le pétrole de la Mer du Nord, et crée des emplois dont 90% vont aux plus proches habitants, plus quelques sous traitants dont des Italiens. Le pétrole raffiné ira un peu partout dont l’Italie (s’il ne fait pas naufrage comme l’Erika). Ces Italiens qui coûtent plus cher à Total que le travail local, pourquoi les fait-il venir d’Italie ? Parce qu’il ne trouve pas sur place la qualification. 30 ans de thatchero-blairisme sont passés par là : l’Angleterre n’est plus un pays industriel qualifié...

Quant à la "relance sans conversion", également d’accord. Mais je ne suis pas sûr que chacune des personnalités citées ait vraiment soutenu une entreprise de mines anti-personnelles. Le problème, nous le savons, est le débat sur la relance de la consommation par une hausse indifférenciée du pouvoir d’achat. Faut-il prédéterminer le caractère vert de la "relance", en ciblant par exemple sur l’investissement des ménages qui leur fait économiser des dépenses en énergie ? Ou bien ce détour est il trop long, et ne vaut-il pas mieux redistribuer vers les plus pauvres qui vont aussitôt dépenser ? Le risque est soit de faire un "new deal" qui n’aura rien de vert, et nous recogner à la même crise écologique que celle de 2008 (limites énergétiques et alimentaires), soit de projeter un new deal vert qui n’aura pas le temps des se déployer avant l’explosion du chômage et la dépression. Il faut trouver le bon dosage.


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