Le Parlement vote un rapport ouvert mais ferme à l’égard de la Turquie.
Le "rapport Morillon" réaffirme la disponibilité de l’Europe à accueillir la Turquie et à ne pas s’enfermer dans un " club des chrétiens " (considérant D).
Mais, insiste-t-il, les critères de Copenhague relatifs aux droits de la personne en sont un préalable, et dresse une liste précise de critiques, demandes et suggestions, notamment sur les questions kurde et chypriote.
J’ai, en particulier, voté l’article sur le génocide arménien, dont la formulation ne m’a pas parue inutilement provocatrice (article 10).