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31/07: Mélanges de juillet.
14/07: Staliniens, fachos et cathos contre le référendum européen.
8/07: Plein le dos. Jacques Robin n’est plus.
7/07: Grenelle de l’environnement : les pieds-nickelés du houèbe.
1er/07: Europe et écologie politique

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Staliniens, fachos et cathos contre le référendum européen.


samedi 14 juillet 2007

Beaucoup de votes importants cette semaine au Parlement. J’ai dû, par ailleurs, finir fiévreusement mon rapport sur « Commerce international et changement climatique » (en tenant soigneusement le compte du nombre de signes autorisé pour la traduction !) Les votes principaux portent sur le (...)


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Arrêtons les insultes et débattons !

vendredi 17 août 2007

Alain Lipietz, bonjour.
Je me permets d’intervenir dans ce fil, car, comme Gégé, je pense qu’il convient de renouer sans caricatures, ni insultes, bien entendu.
Comme l’a dit un de vos contradicteurs dans le courriers des lecteurs du n°962 de Politis, et sans retourner dans des débats qui ont déjà eu lieu en 2004-2005, les gens qui, se sentant pourtant pro-Européens, de gauche, et même, pour certains, écologistes, ont voté non l’ont fait après une réflexion intense, des débats passionnés et parfois prolongés jusqu’au coeur de la nuit, traité en main. Force est de constater que de nombreux "ouistes" (je me permets d’employer ce terme car je pense l’avoir déjà lu sous votre clavier) avaient également d’autres arguments que la guimauve servie à l’époque tous les matins sur France Inter ou tous les mercredis en page 3 de Charlie Hebdo, mais un choix difficile devait être fait.
On ne parle pas (ou plus exactement on n’écrit pas) dans un blog ou au courrier des lecteurs de Politis comme dans un article scientifique avec 80 références ou au contraire comme dans la vie réelle. L’esprit du message de Gégé, comme en atteste son titre me semble-t-il, ainsi que ma propre lettre au courrier des lecteurs de Politis n°948, même s’ils n’échappent pas à un certain degré de saine polémique, est plutôt celui de la main tendue.
Effectivement, on aurait peine à retrouver littéralement les expressions "arriérés", "franchouillards" ou "fasciste" sous votre plume, néanmoins, il ne faut pas nier que cette petite musique nous a été serinée plus d’une fois, pas seulement dans les éditos de Libération ou du Monde du 30 mai 2005, et qu’en vous adressant régulièrement à un organe dont il ne vous a pas échappé que la ligne éditoriale était une des rares à défendre un "non" de gauche, en dénigrant assez constamment ce dernier, vous puissiez donner l’impression de les reprendre à votre compte.
J’avais la faiblesse de penser que votre oui (ainsi que celui de Gérard Onesta ou d’Hélène Flautre) était plus proche du non de Martine Billard, Francine Bavay ou Jean Desessard que du oui de Giscard d’Estaing ou même de François Bayrou mais je m’égare probablement.
Pour finir, je ne pense pas qu’un vrai débat puisse avoir lieu dans un blog. Quelles que soient nos bonnes volontés respectives, on n’échappe pas à la déformation ou au ... sophisme ;-) Ainsi, quand Gégé écrit "Nous avons voté non (la gauche française), tu n’étais pas d’accord, point.", vous répondez "affirmer, contre les évidences statistiques, que "la gauche française a voté Non, point" (donc ceux qui on voté Oui étaient de droite)(...)". Sans vouloir faire mon Noam Chomsky (version linguiste), voilà typiquement le genre de raccourcis fermant d’emblée le débat car une manière de comprendre le message est "Nous avons voté non. Nous sommes de gauche. La majorité de la gauche a voté non", ce qui est une évidence statistique, dans la mesure où les sondages "sortie des urnes" utilisent les statistiques. Votre réponse n’a alors plus aucun sens.
Bien à vous.
Frédéric Supiot (Bruxelles)


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