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En réponse à :Europe et écologie politique
dimanche 1er juillet 2007
Fin de semaine un peu éclatée : jeudi, réunions andines le matin, constitution européenne le soir, samedi, le point sur l’écologie politique.
Jeudi matin, deux réunions en même temps à Bruxelles, l’une sur la Bolivie où je dois intervenir, une autre où je suis invité, sur la Colombie.
La (…)
En réponse à :
avenir de l’écologie politique
Je crois qu’en effet votre référence à la « tonalité de [mon] message du jour » (c’est à dire, d’après les onglets, Communauté Andine, Minitraité, ecologie politique et rôle de Comparini en CR Rhone Alpes), n’aidait pas beaucoup à comprendre ce que vous vouliez dire par « réponses "urgentes" aux défis écologiques » dont vous excluiez en fait le social et le sociétal (« l’aménagement du temps de travail, sur les sans-papiers, sur les couples homosexuels, sur la désobéissance civile, sur les "drogues douces" etc. »)
Si j’ai bien compris vous trouvez que mon blog n’est pas clair sur « refonder l’écologie environnnementale ou refonder l’écologie politique » mais il était un peu difficile de voir où vous faisiez passer la ligne...
Bon j’espère avoir un peu éclairci ma vision des choses.
Sur CAP 21 c’est assez compliqué, ça ressemble au GE de Lalonde en plus petit. GE pesait un peu pus que les Verts électoralement jusqu’à ce que Lalonde se rallie à la droite et explose GE. En 2004, j’ai fait 7,5% en Ile de France contre 3,6 % à Corinne Lepage, et ce malgré de nombreux concurrent-e-s prestigieux sur des thèmatiques qui étaient aussi les notres : 1,5 à Taubira, Besancenot 2,78 %, Euro-Palestine 1,8 %, etc. On peut donc considérer que l’ecologie politique "pure" pesait (comme d’habitude à la proportionnelle, et avec pratiquement aucune extension vers d’autres forces alternatives et le handicap d’assumer sans faille le mariage gay qui a consommé 90% de notre temps CSA) environ 11 %, se répartissant à 2/3 Verts, 1/3 CAP 21.
Bref, à GE en 1993 on avait proposé une alliance électorale (« le pole écologiste fort »), je pense qu’avec CAP 21 on peut sans risque de dérive proposer quelque chose de plus consistant : à débattre.
Mais dans une telle discussion Verts-CAP 21 il me semble difficile de faire abstraction de nos rapports avec les associations, et réciproquement.