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28/09: Services publics : désastre à Strasbourg
23/09: L’insoutenable bonne conscience de la SNCF
21/09: Colombie, UICN, Biodiversité
18/09: ICV. Benoît XVI
15/09: Des socialistes insupportables
10/09: Moyen-Orient, Doha, Sncf, Ingrid : dures nuits à Strasbourg.
3/09: SNCF et Shoah : c’est reparti !

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L’insoutenable bonne conscience de la SNCF


samedi 23 septembre 2006

Ce jeudi 21 est particulièrement intense.
D’abord la réunion à Paris avec les syndicalistes de la Fédération des syndicats européens de la fonction publique, la FSESP (EPSU en anglais). Ils viennent nous présenter leurs exigences concernant le Livre blanc sur les services publics(SIEG dans notre (...)


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L’insoutenable bonne-conscience de la SNCF

vendredi 29 septembre 2006

À nouveau une réflexion, en lien avec votre contribution pour l’AG des Verts et vos remarques sur l’écologie populaire ou l’environnementalisme radical. Au fond, le problème de communication des Verts n’est-il pas l’utilisation du terme « écologie » lui-même ? Bien sûr, le concept d’écologie politique est historiquement et théoriquement séduisant, légitime et pertinent. Mais, en raison de la synonymie fortement ancrée dans les mentalités « écologie = protection de l’environnement », l’expression « écologie politique » ne nous apporte t elle pas plus d’inconvénients que d’avantages ? Que d’énergie passée à essayer de justifier que nous nous intéressons aux questions sociales, de politique étrangère, d’immigration, de droits des minorités, d’altermondialisme, d’Europe fédérale, d’organisation du travail etc… ou au contraire à convaincre que nous ne nous limitons pas à des propositions environnementales !! D’autant que nos explications sont souvent confuses et/ou peu convaincantes. L’explication de l’écologie politique que vous donnez souvent est par exemple intéressante mais peu vulgarisable. Celle qui consiste à expliquer que nous nous intéressons à toutes ces questions parce qu’on arrive, en cherchant bien, à leur trouver un lien avec les problèmes écologiques ne convient pas plus.
Ne serait-il pas préférable d’expliquer prioritairement que le mouvement des Verts est basé sur 3 (ou 4 ou 5 mais il faut faire une sélection sinon ça n’a plus de sens) valeurs fondamentales (celles qu’on trouve dans leur programme et dans vos livres : responsabilité, solidarité, autonomie, auxquelles on peut éventuellement ajouter démocratie et justice par exemple) qui expliquent à la fois les prises de position des Verts (et en particulier la place centrale qu’y occupe l’écologie – au sens commun – principalement en lien avec les valeurs de responsabilité et de solidarité) et les différences avec les autres mouvements politiques. L’ordre dans lequel un mouvement politique « classe » les valeurs renseigne en effet sur ses idées. J’imagine que la droite met par exemple probablement en avant la liberté, ou le mérite/travail, qui ne sont pas, en soi, des valeurs terriblement négatives, mais dont la place qu’on leur donne parmi les autres valeurs est significative d’un état d’esprit. Il ne s’agirait pas de renier notre engagement pour l’écologie politique qui garderait sa valeur historique et théorique, ni de passer au second plan notre engagement en faveur de l’écologie (sens commun). Mais mettons en exergue nos 3 valeurs fondamentales (et déclinons nos propositions à partir d’elles), plutôt que de plaider pour l’écologie politique, et nous serons (peut-être ?) plus efficaces, mieux entendus et mieux compris. Pardon pour ces longues considérations qui peuvent paraître peu concrètes, mais qui ne me semblent pourtant pas inutiles dans le contexte de la préparation d’une AG et d’échéances électorales importantes.


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