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par Alain Lipietz | 1er octobre 2008

Assemblée Générale Fédérale des Verts
Pourquoi j’ai signé le projet de motion « Ouverture, Audace, Imagination ! »
Chèr-e-s tout-e-s
Dans le droit fil du texte dont j’avais jeté les bases en juillet dernier, "L’audace et l’ouverture", des militants des courants O2R et Audaces se sont réunis à Lyon les 27-28 septembre et vous proposent le texte d’orientation "Ouverture, Audace, Imagination !"

J’adhère totalement à cette initiative. Le travail en commun au cours des deux années écoulées a montré une constante convergence de vue entre ces deux courants des Verts. En revanche, des difficultés sont souvent apparues avec la troisième composante de la majorité sortante ("Espoir en actes"), dont la plus spectaculaire fut le vote du 13 mai 2007 et la résolution selon laquelle "les Verts n’avaient plus d’alliés privilégiés". Avec des conséquences bien concrètes comme la participation de dirigeants de ce courant à des listes municipales que l’on aurait jugée impensable pour des Verts il y a encore deux ans, telle qu’une liste conduite par un chevènementiste et allant jusqu’au Modem. Là dessus, nous attendons de nos amis EEA une clarification, comme d’ailleurs de nombreux anciens minoritaires souhaitant nous rejoindre dans l’animation des Verts (et qui sont les bienvenus).

Car ne nous y trompons pas. L’unanimité s’est faite à Toulouse pour le projet de Rassemblement des écologistes, associatifs, syndicalistes et politiques pour les européennes de 2009. Mais deux questions restent en suspens.

S’agit-il d’une simple manœuvre de circonstance pour sauver des places, ou d’un véritable "big bang de l’écologie politique", correspondant à une montée en flèche de la prise de conscience des impasses et de la crise du libéral-productivisme ? Le rassemblement "Ouveture, Audace, Imagination !" part clairement de la seconde hypothèse, mûrement réfléchie depuis des années, avec des propositions constantes, notamment de réformes statutaires permettant enfin aux Verts de "s’ouvrir" et d’abandonner les jeux stériles de sous-courants.

Toute aussi importante est la seconde question : ce regroupement des écologistes annonce-t-il un nouvel isolationnisme "ni droite ni gauche", nous ramenant à l’impuissance ? Au contraire, nous voulons nouer des alliances pour mener des politiques publiques écologistes révolutionnaires. Or la crise mondiale du capitalisme, ouverte depuis un an (de la faillite des usuriers prêtant "subprime" aux travailleurs pauvres américains, à l’explosion du prix des aliments et de l’énergie) est à la fois sociale et environnementale. Nos alliances ne peuvent être qu’avec le camp populaire, et le Rassemblement des écologistes doit viser à prendre la direction de celles et ceux qui veulent d’abord préserver de la crise climatique les plus démunis.

Enfin, derrière ces questions stratégiques se cache une question d’attitude. Voulons-nous vraiment, pour changer les choses, changer la France, l’Europe et la Planète, saisir chaque occasion de réforme, dans cette course contre la montre qui sera close en 2015, selon les experts du GIEC ? Voulons nous donc présenter les indispensables réformes comme une punition des éléments que nous avons maltraités, ou comme des transformations de notre mode de vie à la fois désirables, réalisables, continues, participatives, et pour tout dire joyeuses ?

 Ouverture, Audace, Imagination !

Le consensus est acquis, au sein des Verts, tant sur le rassemblement des écologistes que sur la nécessité du dépassement du parti tel qu’il est. Tant mieux : des écologistes plus forts, un mouvement qui grandit et s’ouvre enfin, c’est ce que nous voulions. Si cette question n’est plus un débat, mais une orientation partagée, notre discussion doit porter plus loin. Allons à l’essentiel : inutile de réciter ici le programme des Verts, sur lequel nous sommes déjà tous d’accord. Ce que nous proposons, c’est non seulement de créer la surprise en 2009, mais d’être dès maintenant, et pour 2012, les inventeurs les plus audacieux d’une majorité, à gauche, transformée par l’écologie.

Le vingtième siècle est derrière nous. Notre temps est celui des crises globales : parce qu’elles
touchent aussi bien le climat que la finance, la sécurité énergétique et alimentaire, le vivant et les symboles. Lorsque s’effondrent les grandes banques américaines, lorsque la faillite menace General Motors, un monde s’écroule avec elles, signifiant à la fois l’ampleur des bouleversements en cours et le prix à payer pour avoir refusé d’anticiper les changements. Crises globales, parce qu’elles s’étendent à la planète entière, dont les limites apparaissent chaque jour plus étroites. Les ajustements à la marge n’opéreront plus : la solution tient dans une mutation conséquente de nos manières d’habiter et de voir notre monde.

Nous ne sommes pas démunis. L’époque porte ses menaces, mais aussi des chances à saisir : la « révolution conservatrice », née il y a trente ans aux Etats-Unis avant de submerger le monde, vit une crise sans précédent. L’élection présidentielle américaine, sur laquelle sont braqués les yeux du monde, l’illustre : il s’y exprime l’exigence d’un puissant retour de la régulation.

Beaucoup est encore possible, et le pire n’est pas certain. Mais si nous voulons faire des crises un point d’appui vers un avenir soutenable, et non le prélude à de terribles conflits, nous devons voir combien les défis sont immenses.

En France, la situation politique n’est plus celle d’il y a dix ans, lorsque la gauche gouvernait et que les Verts passaient pour être les artisans de sa modernisation. La gauche est atone, on doute de l’utilité des Verts. L’aspiration au volontarisme politique a été captée en 2007 par Nicolas Sarkozy. Elle a été déçue, mais rien n’indique que la gauche et les écologistes soient capables, en l’état, de transformer cette déception en un désir d’alternative susceptible d’emporter demain les élections nationales, et non les seules élections locales.

 L’écologie politique ? L’avenir, si nous en avons l’audace

Nos alertes et nos diagnostics font désormais consensus. Il n’est plus une conférence internationale, plus un agenda gouvernemental, qui n’affiche l’objectif de lutter contre le dérèglement climatique. Cette unanimité cache mal la modestie des moyens mis en oeuvre, sous-tendue par la tentation de ne rien changer d’essentiel. Entreprises et élus, économie et publicité, droite et gauche s’écologisent, c’est vrai. Mais toujours avec un retard persistant sur les crises : ayant à peine pris la mesure de l’enjeu climatique, ils n’anticipent pas encore l’autre choc, celui de la biodiversité et d’une extinction massive des espèces vivantes. Le travail d’alerte et de pédagogie du changement reste à faire, tant demeure vif l’espoir de solutions magiques, du nucléaire aux agrocarburants.

Notre lucide vision planétaire ne doit pour autant pas nous éloigner de la réalité immédiate. Pour beaucoup, la crise énergétique est d’abord un casse-tête économique : pour se chauffer, se déplacer, pour faire face. Une souffrance qui s’ajoute à d’autres, au chômage, à la précarité, au déclassement. Une écologie audible de tous, une écologie populaire, doit porter la promesse de vivre mieux, ne pas sacrifier le présent aux nécessités de l’avenir.

Nous pouvons être force de proposition, même là où on nous attend le moins.

Nous pouvons forger de nouveaux compromis sociaux, conciliant l’intérêt général et les revendications catégorielles de tous ceux – agriculteurs, pêcheurs, transporteurs – dont les métiers, les savoir-faire et les vies sont bouleversées, et qui paient la facture des années d’imprévoyance publique.

Nous pouvons affirmer que l’écologie appliquée, ça fonctionne déjà, dans tant de villes et de régions, grâce aux élus Verts. Et ça ne coûte pas plus cher : l’efficacité budgétaire naît des réformes portées par les écologistes.

Nous devons nous interdire, dans nos propres débats, les postures maximalistes qui ne durent que le temps des congrès ou les surenchères dans la récitation comparée de nos « fondamentaux ». Notre époque appelle des réponses neuves, qui ne sont pas toutes gravées dans le marbre de nos programmes.

Nous devons prendre de la hauteur. C’est ce que veulent ceux de nos concitoyens qui partagent
notre désir d’écologie et nous voudraient plus forts, plus soudés, meilleurs.

 Rassembler le peuple de l’écologie et changer la gauche, une même ambition

C’est la belle idée portée par Dany Cohn Bendit : la mutation exige le dépassement des Verts, leur ouverture à d’autres acteurs de l’écologie. La réussite de notre dynamique européenne sera, pour lesVerts, la possibilité d’être le creuset d’une grande formation de l’écologie, plus forte et plus large, marquant une nouvelle étape de notre histoire.

Le Grenelle de l’environnement (après l’élection présidentielle où notre candidate avait été de loin la mieux « notée » par les associations écologistes) a rappelé la proximité des solutions proposées par les Verts et par les écologistes associatifs. Sur le terrain, les Verts travaillent déjà avec les bâtisseurs de l’écologie du quotidien : entrepreneurs et militants de l’économie solidaire, des énergies renouvelables et des mobilités alternatives, de la relocalisation des activités, de l’économie de l’environnement... C’est pourquoi nous proposons la création de « Parlements régionaux de l’écologie » réunissant ces acteurs, dans les territoires où se joue, aussi la mutation des Verts.

Elle se fera aussi par l’Europe, premier espace où se nouent et se dénouent une grande part des enjeux qu’on croit encore nationaux. L’avenir de l’Europe est incertain, l’ambition européenne elle-même fragile. Notre responsabilité sera d’autant plus grande, si nous voulons convaincre, avec le parti vert européen, que l’Union peut, au delà du débat institutionnel, aider les citoyens d’Europe à bâtir un avenir différent.

Mais notre réflexion ne peut pas s’arrêter en 2009. Le rassemblement mobilisera d’autant mieux les électeurs qu’il créera les conditions d’une offre politique nouvelle, engagée à la transformation écologique et sociale de notre pays. Les Verts doivent donc clairement indiquer que la construction d’une alternative pour 2012 commence aujourd’hui.

La gauche traditionnelle n’est guère moins productiviste qu’avant, et se montre incapable de porter une autre vision du développement économique, de l’éducation, de la protection sociale, adaptée à la nouvelle donne écologique. C’est pourtant avec ces partenaires que nous devrons construire des majorités nouvelles.

Il nous reviendra de transformer, de renouveler, d’écologiser vraiment la gauche, partout où cela est possible, chaque fois que possible. Le combat mené et gagné à Montreuil et dans d’autres villes montre que lorsque nous en avons l’énergie et la force d’esprit, nous pouvons être bien plus que des aiguillons ! Une victoire en 2012 suppose le renforcement des écologistes et, dans le même mouvement, la transformation de la gauche.

Il ne s’agit pas de rendre les Verts « socialo-compatibles », il s’agit de refonder une gauche transformée par l’écologie.

 2009 – 2012 : trois ans pour changer la donne

La prochaine équipe de direction des Verts devra réussir les élections européennes, mais aussi
préparer et organiser notre action aux élections régionales (2010), cantonales et sénatoriales (2011), présidentielle et législatives (2012). Cet agenda conséquent exige un ambitieux plan d’action.

Pour réussir les européennes, les énergies du parti seront mobilisées dans les comités locaux et le comité de campagne ;

Une Convention pour l’écologie politique confirmera notre volonté d’une coopération durable avec les réseaux associatifs, civiques et intellectuels. Elle se pérennisera dans des Parlements régionaux de l’écologie. Le Conseil politique sera notamment chargé de revivifier et d’élargir la Fondation René Dumont ;

La réforme du fonctionnement sera poursuivie : pour faciliter l’adhésion, rationaliser les pôles de compétence, porter de véritables campagnes, améliorer notre communication, donner enfin aux régions les moyens de faire grandir les Verts, et consacrer l’essentiel de nos moyens à notre action vers l’extérieur ;

La stratégie pour les élections régionales et cantonales sera arrêtée par les adhérents dans chaque région au vu du bilan des équipes élues en 2004, au vu aussi du résultat des élections européennes et du changement éventuel de mode de scrutin ;

Pour réussir l’alternance en 2012, les Verts prendront l’initiative de débats publics avec leurs
partenaires, dès après les élections européennes. Notre objectif est de mettre l’écologie au cœur d’un projet commun de gouvernement et de construire une alliance gagnante pour les législatives et l’élection présidentielle, incluant le débat sur la possibilité de primaires ouvertes
aux citoyens.

Dans une période marquée par la crise économique, où les questions écologiques pourraient passer au second plan, l’unité des Verts sera plus que jamais requise. Nous croyons à l’avenir d’un grand parti écologiste en France, comme il en existe dans d’autres pays d’Europe. Le changement est possible en 2012. Nous sommes convaincus que plus les Verts seront forts, plus nous pourrons transformer la gauche, plus ce changement sera possible. Pour réussir, soyons ouverts, audacieux et imaginatifs !

PREMIERS SIGNATAIRES

Alsace : Andrée Buchmann, Amar Benamour, Clarisse Benhaïm, Nicolas Benhaïm, Laura Desantos, Marie-Josée Escobar, Jacques Fernique, Ali Hamza, Pierre Ernst, Michele Gartner, Jean-Jacques Heitz, Julie Kosman, Céline Roos, Elodie Roos, Jacky Walch,

Aquitaine : Gaétan Brizard, Gérard Chausset, Laure Curvale, Daniel Hegoburu, Jean Lissar,

Auvergne : Danielle Auroi, Anne Babian-Lhermet, Hervé Mantelet, Annette Rembert-Mantelet,

Basse Normandie : Antoine Astruc, Bérengère Dauvin, Pascal Giloire, Julien Hermilly, Rudy L’Orphelin, Mickael Marie

Bourgogne : Christine Durnerin, Philippe Hervieu,

Bretagne : Jacqueline Caplat-Gouelou, Janick Deltour,

Centre : Thierry Soler,

Champagne Ardenne : Gérard Crouzet, Stéphane Joly, Gérard Joly, Jacques Saux, Thierry Wippler, Mireille Wojnarowski,

Franche Comté : Eric Alauzet, Dominique Alauzet, Marie Agnès Chalumeaux , Philippe Chatelain, Yves Ketterer, Isabelle Nouvellon, Gérard Roy,

Haute Normandie : Mathias Ader, Pierre Dieulafait, Michel Flambard, Jean Pierre Girod, Sophie Houdart, Frédéric Lamblin, Denis Langlois, Thierry Lecerf, Alain Loeb, Pascal Magoarou, Nathalie Maine, François-Marie Michaux, Daniel Mousset, Cyrille Moreau,Gérard Neuville, Thierry Quennehen, Stéphanie Taleb-Tranchard, Claude Taleb

Ile de France : Isabelle Agier Cabanes, Aline Archimbaud, Jacques Archimbaud, Frédéric Benhaim, Jean Félix Bernard, Michelle Bock, Michel Bock, Laurent Boudereaux, Hervé Bourdin, Catherine Candelier, Patrick Chaimovitch, Dominique Cloarec, Francine Comte-Ségrestaa, François Delcombre, Denis Delrieu, Marie Pascale Deluen, Jean Marc Denjean, Jean Pierre Durand, Lino Ferreira, Patrick Franjou, Lionel Guerin, Pénélope Komitès, Alain Lipietz, Laure Lechatellier, Jean Patrick Le Duc, Sébastien Leplaideur, Elisabeth Loichot, Liliane Pays, Patrick Planque, Alexis Prokopiev, Jean François Poupel, Natalie Riollet, Emmanuelle Rivier, Chantal Rochwerg, Damien Romanet, Mariannick Saout, Thierry Schaffauser, Anne Souyris, Frédérique Tarride, Alain Tubiana, Dominique Voynet,

Languedoc Roussillon : Camille Baco, Roselyne Bahler, Dominique Balitran, Abdel Benbakir, Abdelaziz Bengaara, Pascale Benoit, Christophe Chiron, Sandrine Chiron, Michèle Comps, Jean Marie Copois, Rose Marie Coustellié, Francis Delbé, Nabil Difai ; Christian Dupraz, Michel Dumas, Marc Ergun, Monique Ferrer, Ghislaine Fraiche-Copois, Myriam Gichuki, Philippe Hanseman, Franck Huette, Agnès Langevine, Bernard Laporte, Alain Lecompte, Claude Llenas, Josyane Leinenweber, Mustapha Majdoul, Jacqueline Markovic, Marie Massard, Katia Mingo, Nicole Moschettu-Stamm, Bernadette Ortega, Philippe Pancrace, Artee Panrey, Pascale Pibot, Hélène Ramirez, Manu Reynaud, Claudine Ripoll, Jean Louis Roumegas, Raymonde Rouzier, Thierry Ruf, Pierre Sabat, Gérard Saez, Philippe Saintlos, Catherine Sant ; Monique Scheck, Marie Thérèse Soliva, Janine Vergoz, Thierry Vromet,
Midi Pyrénées : Jacques Bloy, Suzanne Boughatas, Elie Brugarolas, Jean Louis Calmettes, Stéphane Coppey, Gilles Dadou, Nicole Dedebat, Françoise Dedieu-Casties, Catherine Dubuisson, Josiane Mourgue, Hugues Mourgue, Pierre Redonnet, Thibault Renaudin, Alain Rigout, Marc Saracino, Georgette Sauvaire,

Nord Pas de Calais : Bernard Despierre,

Pays de Loire : Gérard Aubron, François Beaumert, Emmanuelle Bouchaud, Jean-Marie Bruneau, Olivier Bulard, Christelle Cardet, Christophe Cardet, Pascale Chiron, Guillaume Chocteau, Catherine Choquet, Yves Choquet, Jacques Cochy, Jean Coirier , Mado Coirier, Patrick Cotrel, Christian Damenstein, Gilles Denigot, François de Rugy, Vincent Dulong, Gilbert Galliot, Bernard Garnier, Claudine Goichon, Nicolas Hélary, Yann Hélary, Henri-Claude Houssais, Christian James, Pascal Léon, Jean-Philippe Magnen, Gilles Mahé, Gérard Martin, Emmanuel Morel, Arlette Mousseau, Patrick Naizain, Michel Narioo, Dominique Norval, Christelle Pottier, Joëlle Remoissenet, Raphaël Romi, Didier Quéraud, Colette Reclus, Clotilde Sers, François Simon, Loïc Simonet, Isabelle Verdon, Grégoire Vialleton
Poitou Charentes : Jean Collon,

PACA : Pierre Aubry, Marie Bouchez,

Rhône Alpes : Jean David Abel, Jean Michel Bailly, Jean Baetz, Marie Berger, Philippe Crouzet, Alain Giordano, Guylaine Gouzou-Testud, Pierre Hémon,
Catherine Herbertz, Olivier Longeon, Maurice Morel, Patricio Silva, José Louis Théry, Philippe Vialleton

Savoie : Jean Louis Molié

 Pour signer

Assemblée générale des Verts 2008

Ouverture, Audace, Imagination

Nom :

Prénom :

Région :

Mail :

Je soussigné-e........................... déclare signer la motion d’orientation
Ouverture, Audace, Imagination proposée à l’assemblée générale des Verts.

  Signature :

*

*

*

Important : date limite de réception des signatures le Vendredi 10 octobre à 18 heures

Envoyez vos réponses :

Par courrier : Michel Bock 24 rue du grand noyer 78280 Guyancourt
FAX : 01 40 63 01 88

Le formulaire signé peut être envoyé par mail à bock.michel@free.fr seulement en PDF.



À noter :

Photo marymactavish, sous licence CC.

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