par Pascal Simon
Francine, je ne t’ai que trop peu connue, mais il est des personnes dont il n’est pas nécessaire d’avoir une longue pratique pour savoir que l’on ne s’est « pas trompé de porte ».
Tu étais de celles-ci.
De notre groupe, les compagnons de longue date, comme les plus récents, tous le savent, tous le disent.
Tu avais cet abord facile, simple et généreux qui met à l’aise, immédiatement.
Tu avais ce regard franc et lumineux, ces gestes, ces paroles qui apaisent.
Tu avais cette intelligence, cet amour des autres qui rendent chacun meilleur.
Tu avais ce courage, cette force qui empêchent de baisser les bras.
Tu savais donner tout cela sans compter.
Pour tout cela, et pour plus encore que je n’arrive pas à exprimer, nous te remercions.
Voilà, je n’ai pas ton talent pour les mots, c’est frustrant, mais je peux te dire, pour tous les membres du groupe : « Tu vas nous manquer ».