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En réponse à :Saïgon n’aime pas les piétons, ou le socialisme de la motocyclette
mercredi 12 janvier 2011
Retour de vacances/pèlerinage aux sources au Viêt Nam. La grand-mère de Natalie était vietnamienne, son grand-père ingénieur en chef des travaux publics en Indochine. Il a dirigé la construction de la ligne Saïgon-Hanoï, du train à crémaillère de Dalat etc., jusqu’à ce que l’administration (…)
En réponse à :
Monsieur d’Ormesson
Un vent de liberté soufflait sur Saigon…
Votre pèlerinage nous entraîne, du moins ceux de mon âge, dans un pèlerinage virtuel dans notre passé et nos illusions.
Jean Ferrat, Ville Ho Chin Min.
Que de morts, que de napalm, que de destructions.
Le système américain, et vous le dites, aurait imposé son efficacité dix ans, vingt ans, trente ans après la prise de pouvoir des communistes.
Comme ce système s’est imposé en Russie, en Chine.
Ne restent plus que Cuba et la Corée du Nord.
Ah ! si je savais dessiner !
Il y a eu TINTIN AU TIBET et AU CONGO.
Je ferais MÉLENCHON À CUBA.
S’il y avait eu des éléphants en Amérique…
Si l’Angleterre avait été un continent et la Chine une (petite) île…
Si les Khmers Rouges avaient été les libérateurs qu’on croyait ?