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En réponse à :Identités nationales : Drancy, Hamida

samedi 7 novembre 2009
Le week-end dernier, j’ai lu le livre de Didier Epelbaum, Obéir, qui m’a brutalement ramené à Drancy et au procès intenté par mon père et mon oncle contre l’Etat et la Sncf. Et puis, mardi 3, je suis allé à l’enterrement d’Hamida Ben Sadia, admirable amie emportée par un cancer foudroyant. Un très grand (...)
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Identités nationales : Drancy, Hamida
Quand la politique donne caution a des lois placant un semblable dans une condition où son humanité n’est plus prise en compte, cela agit pour la conscience éthique comme l’abus d’alcool sur le cerveau, les timides invétérés, les mi-jetons, utilisent cela comme un pretexe au sadisme : L’effet deshinbiteur de la meute.
Heureument la mémoire est un cadre inexpugniable, pour ceux qui aiment à s’hydrater à la source.
Il y aura toujours le sens du vent pour savoir contre quoi on doit faire face, on y perdra la voix, et l’histoire perdra la trace de nos combats, mais nos larmes s’envoleront avec grâce et retourneront à l’amer, pour y nourrir de leurs sels, les poussent des oliviers du verger.