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En réponse à :De l’importance de la pole-position dans une élection
mercredi 7 octobre 2009
Pour la première fois de ma vie politique, je suis, en tant qu’écologiste, en position de prétendre représenter la gauche et le centre au second tour, et même de battre la droite. Une situation nouvelle, autant pour les médias que pour moi. Certes, les élections européennes indiquaient cette (…)
En réponse à :
Cher Jc Rennesson
Je suis étonné par votre commentaire.
Je n’avais aucune estime particulière pour Alain Lipietz jusqu’à ce que je consulte régulièrement son blog. Son compte-rendu de ses activités en tant que député européen m’a passionné. Il ne s’agissait pas d’autosatisfaction destinée à se valoriser. Il y fait part certes de petites victoires mais aussi de grandes défaites.
Si seulement nos élus (de tous bords) pouvaient avoir ce souci !
Alain Lipietz a annoncé qu’il ne solliciterait pas un nouveau mandat, qu’il prenait sa retraite, qu’il avait aussi des ambitions littéraires...
Parachuté ! Nous ne devons pas, cher Jc Rennesson, mettre le même sens aux mots. Un parachuté est un(e) politicien(ne) qui reçoit l’investiture de son parti pour être candidat dans une circonscription électorale (ou une commune) où il (elle) n’a aucune attache mais où il (elle) pourra aisément être élu(e).
A l’annonce de sa candidature, j’ai écris à Alain Lipietz qu’il avait tout à perdre dans cette élection. S’il gagne, il perdra sa retraite. S’il perd...
Non ! Il ne peut pas perdre ! Car son parti l’a, selon vous, parachuté dans une circonscription où il gagnera facilement.
Pourvu que vous ayez raison, cher Jc Rennisson !