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En réponse à :Dur passage

mercredi 5 novembre 2008
Francine n’est toujours pas « passée ». Je mesure la portée de ce mot, sa difficulté. Nous étions tous deux partisans du « droit à mourir dignement ». À l’hôpital Saint-Antoine ils l’avaient bien compris, et nous avait demandé, séparément, « quel degré nous souhaitions » d’acharnement thérapeutique. Nous (...)
En réponse à :
Loi Léonetti
C’est sûr que la loi Leonetti est un progrès, et que les risques de son assouplissement ne sont pas négligeables. Mais votre mari voulait encore vivre avec vous, ce n’est pas le cas de ceux qui ont fait leurs adieux et pour qui la survie n’est qu’une torture. Dans le cas de Francine, il est clair qu’elle aurait voulu aller un peu vite, mais elle n’a pas souffert et on ne lui a imposé aucun acharnement thérapeutique.
Avec toute mon amitié.