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En réponse à :Dur passage

mercredi 5 novembre 2008
Francine n’est toujours pas « passée ». Je mesure la portée de ce mot, sa difficulté. Nous étions tous deux partisans du « droit à mourir dignement ». À l’hôpital Saint-Antoine ils l’avaient bien compris, et nous avait demandé, séparément, « quel degré nous souhaitions » d’acharnement thérapeutique. Nous (...)
En réponse à :
Dur passage
lundi 10 novembre 2008
Cher Alain, je n’ai que mes larmes de vraies larmes pas des mots à t’offrir en partage après la lecture de ton élégie... Je n’arrive pas à imaginer qu’une quelconque consolation soit possible : la perte de l’être cher crée un tel vide, je le sens...
Je ne pourrais pas être aux obsèques retenue par mes cours mais je ne cesse de penser à vous, impuissante.
Ghislaine