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En réponse à :Dur passage
mercredi 5 novembre 2008
Francine n’est toujours pas « passée ». Je mesure la portée de ce mot, sa difficulté. Nous étions tous deux partisans du « droit à mourir dignement ». À l’hôpital Saint-Antoine ils l’avaient bien compris, et nous avait demandé, séparément, « quel degré nous souhaitions » d’acharnement (…)
En réponse à :
Dur passage
Alain,
Mon français est tout perdue, mais pour vous…
Dans votre situation, j’ai réfléchi vers mon mère, quand elle a récupéré d’un coma, dans sa mal. Elle fut vraiment heureaux, adulte mais comme l’enfant, être vivant, avoir la vie, avoir ces moments. Ce s’est la vie, ’itself’, je pense, je crois. Quelque-chose se passer ; quelqu’une ce voit, ce touche.
Je toujours me souviens cela, même que nous avons écouté quelques musiques françaises, l’accordeon, car elle grand-chose toujours aima France ; et puis, lendemain, elle est allé…
Peut-être les médicaments, quelques différances fait…mais j’espére et souhaite, pour Francine, c’est aussi.
Alain, votre travail, alles, pour moi très important ist. Parce que j’ai derechef ceci chercher, votre situation découvre.
Tout dans amitié,
Clive