Les emplois verts : mythe ou réalité ?

Mon article est paru dans la revue sous un forme légèrement simplifiée que vous trouverez en cliquant ici.

Il vise non seulement à présenter quelques données sur l’évaluation en emplois du scénario Négawatt, mais aussi à souligner que le solde des emplois créés dans le triple effort "sobriété-efficacité-énergies renouvelables" étant largement positif, ce scénario fait croître le PIB, y compris le volet "sobriété" (si les salaires ne baissent pas). Nous avons donc ici un exemple de "découplage volontaire" (réduction de l’empreinte écologique malgré une croissance du PIB).

Il en est ainsi du fait du caractère très sélectif de la croissance ainsi obtenue. Le scénario Négawatt réduit en quelque sorte la dispersion de l’énergie et des sous-produits de sa captation et de sa mis en œuvre, mais cette réduction demande une activité consciente, organisatrice, ce qui renvoie à un couple de concepts bien connu des physiciens : l’entropie et la néguentropie. Mon texte initial a malheureusement dû être allégé de considérations sur le thème "Est-ce le concept d’énergie ou celui d’entropie qui est le plus utile en matière d’écologie, si l’on cherche à cerner des notions telles que gaspillage, pollution ?"

Ces considérations me semblent rester utiles à la réflexion. Je livre donc ci-dessous mon texte originel. Il est recommandé de le citer ainsi :
"Energie, écologie et néguentropie : l’exemple des emplois verts", publication partielle sous le titre " Les emplois verts, mythe ou réalité", Projet n°336-337, octobre 2013.

Pour lire ce texte, cliquez ci-dessous (pdf, 150 ko) :

Emplois Verts VL